Enquanto não é feito o lançamento oficial deste belíssimo álbum/trabalho de colaboração entre as bandas irmãs que se amam muito entre si, DOPO e Isabelle Chase Otelo Saraiva de Carvalho.
Esta última frase aqui em cima não ficou inacabada. É assim mesmo.
Très honnêtement, en entendant les premières mesures de DOPO + ISABELLE CHASE OTELO SARAIVA DE CARVALHO, je suis réellement retombé à la fin des années 60, à l'époque où le grand Zé Cida expérimentait, où António Calvário Live at Feira Popular 67’ ne s'était pas encore démultiplié. Ouaip! Bref, un choc! Une sorte de kermesse hippie pendant laquelle volutes prohibées et sons interdits se caressent avec une certaine mais douce violence sado-maso. Oui. Bon, là, je ne parle pour le moment que du premier morceau, le bien nommé 'I can see the Morrissey Marceneiro from the window of your church' (!!!). C'est roots en tout cas ! Petit patapon. Mais ce qui est roots est forcément toujours passionnant... Pas toujours facile à écouter, surtout avec le casque (le mixage est d'époque quand même! Un petit gâteau !). Sea weed is couve. Et alors? Le jardin du Nicolas. C'est quoi le problème? Sale menteur. Toutes les musiques enregistrées à notre époque devraient être formatées et indolores??? Petite grenouille. Certainement pas! Et c'est pour cette raison que j'adhère à DOPO + ISABELLE CHASE, même si ça me perce les oreilles par moments. Merci mes chouchous. La pochette est magnifique... Non? Enfin, quoi? Marchons, marchons, brave caralhons! Je vous embrasse.
(adaptação livre de DOPO a solo review vinda da France in LaFresto, December 12, 2005)
Esta última frase aqui em cima não ficou inacabada. É assim mesmo.
Très honnêtement, en entendant les premières mesures de DOPO + ISABELLE CHASE OTELO SARAIVA DE CARVALHO, je suis réellement retombé à la fin des années 60, à l'époque où le grand Zé Cida expérimentait, où António Calvário Live at Feira Popular 67’ ne s'était pas encore démultiplié. Ouaip! Bref, un choc! Une sorte de kermesse hippie pendant laquelle volutes prohibées et sons interdits se caressent avec une certaine mais douce violence sado-maso. Oui. Bon, là, je ne parle pour le moment que du premier morceau, le bien nommé 'I can see the Morrissey Marceneiro from the window of your church' (!!!). C'est roots en tout cas ! Petit patapon. Mais ce qui est roots est forcément toujours passionnant... Pas toujours facile à écouter, surtout avec le casque (le mixage est d'époque quand même! Un petit gâteau !). Sea weed is couve. Et alors? Le jardin du Nicolas. C'est quoi le problème? Sale menteur. Toutes les musiques enregistrées à notre époque devraient être formatées et indolores??? Petite grenouille. Certainement pas! Et c'est pour cette raison que j'adhère à DOPO + ISABELLE CHASE, même si ça me perce les oreilles par moments. Merci mes chouchous. La pochette est magnifique... Non? Enfin, quoi? Marchons, marchons, brave caralhons! Je vous embrasse.
(adaptação livre de DOPO a solo review vinda da France in LaFresto, December 12, 2005)
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